L'œillet de Chine offre la plus longue période de floraison à la Réunion. Une plante qui n'a aucune difficulté à pousser dans nos jardins.
Arla ankor in plant inporté isi dann Larénion pou fé la dékorasyon, son bann fèy lé konm tayé èk in sizo. Zoli minm, gayar po rogardé, i fé pa son poz po pousé, lantrtyin lé inpé konm zéyé normal. Sinonsa so flèr la na kaziman tout lo bann koulèr, roz, blé, blan, fusia...
Œillets est un nom vernaculaire ambigu désignant en français diverses plantes herbacées, souvent utilisées comme plantes ornementales ou « fleurs à couper ». Les pétales de leurs fleurs (ou inflorescences) sont généralement dentés, découpés voire laciniés. Le genre des œillets « véritables » est Dianthus, de la famille des Caryophyllaceae.
Pourtant, une autre espèce, de la famille des Asteraceae est aussi réputée que ceux-ci: l'œillet d'Inde (Tagetes patula). Cette espèce a été nommée par analogie avec la forme des fleurs de certaines espèces du genre Dianthus.
Sont nommées « œillets » également des espèces d'autres genres de Caryophyllaceae et d'autre familles. Enfin, une anémone de mer, Metridium senile est appelée « œillet de mer », encore par analogie de forme.
A la Réunion cette plante existe en plusieurs couleurs, certaines ont mêmes été modifiées génétiquement pour des questions pratiques aux bons grés de nos apprentis sorciers des laboratoires.